« BLOOD MOON »
Londres, 2010.
La nuit est tombée sur la capitale. & je me sens tomber avec elle. C'est la fin, je le sais & malgré mes tentatives pour survivre, je n'y arriverai pas. La ruelle est longue & étroite. Une odeur nauséabonde traîne par ici, l'odeur de la mort.
Je cours, tout en regardant derrière moi, de temps à autre. Des coups d'oeil furtifs qui me ralentissent, mais je ne peux m'en empêcher. Cette créature est là, par ici. Je le sais, je sens sa présence. Je prie le ciel pour que ma vie ne devienne pas un souvenir. Par pitié...
Une ombre passe dans la noirceur de la nuit & je discerne des bruits de pas qui frôle le sol humide. J'ai peur, je l'avoue.
Un rire résonne. Refrain machiavélique qui fait frissonner mon échine. Je tremble comme une feuille. Cette chose avance. Elle a l'apparence humaine, cela ne fait aucun doute, mais son aura me crie qu'elle n'est pas comme moi.
La créature s'approche & mes jambes sont paralysées. Je hais mon corps qui me trahit. Je ne peux pas courir, je n'ai plus d'espoir.
Des doigts fins caressent ma joue bouillante. Ses yeux sont emplit d'une lueur meurtrière & je vois son sourire. C'est alors que ses doigts invite le feu à venir lécher ses ongles, puis sa paume.
Un léger cri s'échappe de ma gorge, faisant vibrer mes cordes vocales pour la dernière fois. Il s'approche encore, & je sens le morsure du feu sur ma peau. Je pleure. Ma vie se termine ici.
Je meurs dans la terreur...

Ils sont là, partout sous une apparence humaine & vous ne vous doutez de rien, pauvres enfants. La vie n'est pas une long fleuve tranquille, navrée de vous l'apprendre.
« BLOOD MOON »
Londres, 2010.
La nuit est tombée sur la capitale. & je me sens tomber avec elle. C'est la fin, je le sais & malgré mes tentatives pour survivre, je n'y arriverai pas. La ruelle est longue & étroite. Une odeur nauséabonde traîne par ici, l'odeur de la mort.
Je cours, tout en regardant derrière moi, de temps à autre. Des coups d'oeil furtifs qui me ralentissent, mais je ne peux m'en empêcher. Cette créature est là, par ici. Je le sais, je sens sa présence. Je prie le ciel pour que ma vie ne devienne pas un souvenir. Par pitié...
Une ombre passe dans la noirceur de la nuit & je discerne des bruits de pas qui frôle le sol humide. J'ai peur, je l'avoue.
Un rire résonne. Refrain machiavélique qui fait frissonner mon échine. Je tremble comme une feuille. Cette chose avance. Elle a l'apparence humaine, cela ne fait aucun doute, mais son aura me crie qu'elle n'est pas comme moi.
La créature s'approche & mes jambes sont paralysées. Je hais mon corps qui me trahit. Je ne peux pas courir, je n'ai plus d'espoir.
Des doigts fins caressent ma joue bouillante. Ses yeux sont emplit d'une lueur meurtrière & je vois son sourire. C'est alors que ses doigts invite le feu à venir lécher ses ongles, puis sa paume.
Un léger cri s'échappe de ma gorge, faisant vibrer mes cordes vocales pour la dernière fois. Il s'approche encore, & je sens le morsure du feu sur ma peau. Je pleure. Ma vie se termine ici.
Je meurs dans la terreur...

Ils sont là, partout sous une apparence humaine & vous ne vous doutez de rien, pauvres enfants. La vie n'est pas une long fleuve tranquille, navrée de vous l'apprendre.
« BLOOD MOON »
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -50%
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
Voir le deal
69.99 €

Partagez | 
 

 Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Heaven A. Sanders


Heaven A. Sanders

| AGE : 31
| LOCALiSATiON : Behind you ! Too late ...
| OCCUPATiON : J'arpente les rues de Londres à ta recherche, sweety
| HUMEUR : Délicieusement cruelle !

« TELL ME. MORE & ALWAYS MORE. »
▬ connais-tu les Raïs & les Raynes ?: bien sûr ...
▬ race: Raïs
▬ relationship:

Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] _
MessageSujet: Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël]   Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] Icon_minitimeJeu 11 Nov - 22:54

Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] Photo_73700600_6Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] 1105224188

Ou quand l'indifférence fait peu à peu place à la haine ...


François Mauriac n'avait-il pas dit «Comme on dit "faire l'amour", il faudrait pouvoir dire "faire la haine". C'est bon de faire la haine, ça repose, ça détend.» ? Je crois bien que si et en gros, je trouve que ça résumait bien ma vie, n'êtes-vous pas d'accord ? Vrai que vous ne me connaissez pas encore mais n'importe qui dans le cas contraire pourrait vous l'assurer. Je suis une méchante moi et j'adore haïr les gens. Mais venons en aux faits que vous appreniez un peu à me connaître. Je suis sûre que vous allez adorer votre petite escapade avec moi ... Donc que je vous raconte un peu tout dans les grandes lignes.

Tout d'abord, je suis une Raïs. Autant dire votre pire cauchemar pauvres petits humains. J'adore le sang et j'adore le voir couler de vos veines. En gros, je bouffe les gens et j'adorerais faire souffrir ma sœur, une petite Rayne, en dévorant son copain. Classe, non ? Bon, donc ça, c'est le but de ma vie résumé dans les grandes lignes. Mais ne vous inquiétez pas, si vous êtes un Raïs, peut-être pourrais-je vous supporter mais rien n'est moins sûr. Je ne suis pas si méchante dans le fond .... Non mais je blague ! Bien sûr que je suis mauvaise et c'est là qu'est toute ma réussite. Donc passons donc aux faits. Je vois bien que vous en mourrez d'envie ! Ça fait deux fois que je vous le promets alors voilà la raison pour laquelle je suis là, assise dans ce café d'Oxford Street à Londres, ma ville natale. Je trouvais juste important de poser les bases, pas vous ? Enfin voilà.

Ce matin là, je m'étais réveillée, pas affamée mais juste avec une envie de jouer et surtout, de me promener. J'étais descendue au salon puis était allée dans la cuisine de mon immense manoir que j'avais acheté en ville et je pris un grand bol de céréales avec une tasse de chocolat chaud. Vrai que ça ne fait pas très méchant comme ça mais c'est vrai, j'adorais ça. Je montais ensuite prendre une bonne douche, me lavais les dents et me nettoyais le visage. Puis, je me dirigeais après m'être entourée d'une serviette et avoir sécher un peu à la va-vite mes cheveux vers mon dressing. Merci pour mon bel héritage avec lequel j'avais pu m'offrir l'endroit. Je choisis une paire de collants résilles noirs, un short de la même couleur et une tunique blanche et grise. J'enfilais le tout, peignais mes cheveux qui retombèrent en cascade blonde sur mes épaules, enfilais une veste en cuir, mes Doc Martens noires, pris mes clés de maison, mon portable et sortit en coup de vent.

Une fois dehors, je commençais à errer dans les rues à la recherche d'un endroit un peu sympa. Je sortis de ma rue et me dirigeais vers Buckingham Palace. Puis, je pris la rue de Park Lane et arrivais enfin au coin d'Oxford Street et Bayswater Road. J'avais toujours aimé me balader dans ce coin là et puis Oxford Street était un endroit sympa avec pleins de boutiques et de cafés. En plus, cette marche m'avait donné faim et soif. Je me mis donc en tête de dégoter un Starbuck pas trop plein. De toutes manières, vu l'heure, aucun ne seraient vraiment bondé. Je pénétrais donc dans le troisième que je trouvais. Allez savoir pourquoi, j'aimais bien ce chiffre : trois. J'étais un peu superstitieuse sous mes apparences et respecter certaines règles que je m'étais imposées en faisait parti. Je privilégiais par exemple toujours le nombre trois aux autres. Je mettais d'abord ma chaussure droite avant la gauche ou pleins d'autres trucs du genre. Mais ce n'est pas important pour mon histoire alors continuons.

J'entrais donc et la chaleur de l'endroit m'envahit soudain. Je m'avançais vers le comptoir et commandais mon chocolat chaud spécial avec chantilly et chocolat par dessus. On me le servit ainsi que le brownie que j'avais demandé et j'allais tranquillement m'asseoir à une table où je regardais les gens aller et venir. Puis, je trouvais un journal et commençais à lire les infos, me tenant toujours au courant de tout. Je buvais et mangeais en même temps. Les gros titres n'étaient pas intéressant aujourd'hui. Juste une fille disparue. Ça arrivait tout le temps ici. Surtout avec nous, les Raïs. Je décidais donc de passer ce sujet et me rendis à la page des BDs dans lesquelles je me plongeais.



Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] Starbucks
Revenir en haut Aller en bas
Abigaël J. Tyler

    HUMAiNE. Admin Rescapée

Abigaël J. Tyler

| AGE : 31
| LOCALiSATiON : Londres
| OCCUPATiON : Fondre devant Loan *o*
| HUMEUR : Dépréssive ? xD

« TELL ME. MORE & ALWAYS MORE. »
▬ connais-tu les Raïs & les Raynes ?: bien sûr ...
▬ race: Humaine
▬ relationship:

Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] _
MessageSujet: Re: Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël]   Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] Icon_minitimeDim 14 Nov - 16:37

Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] Hwilli55 Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] 10pwvtx
Ah les filles, ah les filles ...
Elles me rendent marteau !

En me réveillant ce matin-là, j'avais une envie folle d'aller faire les boutiques. Je ne sais pas pourquoi, mais il fallait au moins que j'aille faire du lèche-vitrines. C'était vital. J'aurais bien appelé Lily, ma meilleure amie, pour venir avec moi mais j'étais bien trop pressée pour commencer à passer des coups de fil. Je m'étais donc dépêchée de petit déjeuner & de m'habiller pour foncer prendre le premier métro vers Oxford Street. Cette rue est sûrement la plus commerciale de la ville. Il y a tellement de magasins qu'on ne pourrait les compter. Un vrai paradis !
Dans le premier magasin je ne pus m'empêcher d'acheter un jean usé à la perfection, puis un bonnet en laine orange, ma couleur préférée. Il était absolument parfait. De plus, le froid commençais à pointer de plus en plus le bout de son nez ces derniers temps. & oui, à Londres, l'hiver est déjà là en novembre ! Pas au point d'avoir de la neige mais pas loin ... C'est d'ailleurs ça qui est chouette car les magasins sont déjà pleins de décorations de Noël, ce qui est super beau quand on se balade le soir. Cette ambiance de festivités m'avait toujours plut, même si je passe toutes mes fêtes de fin d'année seule ou avec des amis depuis la mort de mes parents. Enfin je ne vais pas m'attarder sur l'histoire de mes parents ... Y a pas grand chose à raconter & c'est pas très agréable d'y repenser - même si j'y repense chaque jour depuis.

Au bout de deux heures de folie à courir dans toutes les boutiques possibles & imaginables, je commençai à avoir un petit creux & me dirigeai vers mon café préféré. En passant devant, je vis une fille assise à une table, une blonde. Je ne voyais pas son visage mais j'étais persuadée de la connaître. En entrant je jetai un regard dans sa direction & reconnu Heaven Sanders. Une peste. Quand nous étions plus jeunes, nous étions de super bonnes amies, mais au fil du temps, elle est devenue de plus en plus chiante & cruelle. Un jour alors que j'en avais marre, je lui dis tout ce que je pensais d'elle & ce fut le début de la troisième guerre mondiale. C'est dommage car nous aurions fait un duo de choc toutes les deux. Enfin, c'est la vie ...

Je me dirigeai vers le comptoir & demandai un éclair au chocolat. Je regardai de temps en temps en direction d'Heaven pendant que je mangeais ma vienoiserie. Je ne sais pas pourquoi, mais j'avais envie d'aller la voir. Je vous rassure, je n'étais pas prête à déterrer la hache de guerre, loin de là ... En fait j'était plutôt tentée d'aller l'ennuyer un peu. D'aller tenter le diable en quelque sorte. De toute façon, elle n'oserait jamais commencer à me tirer les cheveux & me mettre des gifles devant tout le monde. Je me levai d'un bond & alla m'assoir à la chaise en face d'elle, tout en la saluant, à ma façon :

« Heaven ! Dis, quel est le point commun entre les alpinistes et les hommes qui épousent des blondes ? »

J'avais un large sourire au lèvre. Mathis m'avait raconté cette blague quelques jours auparavant, & je l'avais trouvée assez drôle. Je vis le journal descendre lentement d'un étage, juste assez pour que "Blondie" puisse voir qui lui adressait la parole. Si ses yeux avaient put lancer des éclairs, je pense que j'aurais été foudroyée sur le coup.

[HS : désolée, c'est pas super mais j'étais pas trop trop inspirée T.T Je ferais mieux après =D]
Revenir en haut Aller en bas
Heaven A. Sanders


Heaven A. Sanders

| AGE : 31
| LOCALiSATiON : Behind you ! Too late ...
| OCCUPATiON : J'arpente les rues de Londres à ta recherche, sweety
| HUMEUR : Délicieusement cruelle !

« TELL ME. MORE & ALWAYS MORE. »
▬ connais-tu les Raïs & les Raynes ?: bien sûr ...
▬ race: Raïs
▬ relationship:

Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] _
MessageSujet: Re: Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël]   Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] Icon_minitimeDim 21 Nov - 17:08

- Heaven ! Dis, quel est le point commun entre les alpinistes et les hommes qui épousent des blondes ?

Je reconnus cette voix au premier mot qu'elle dit. Son ton faussement enjoué. Abygaël Tyler. Une humaine que j'aurais bien tuée mais au nom de notre ancienne, très ancienne amitié, je m'étais retenue. Pas facile, je le jure. Je relevais lentement la tête, mes yeux lançant des éclairs. Elle avait de la chance que ce ne soit pas mes mains d'ailleurs. Et puis sa blague était totalement nulle. Les blagues sur les blondes, j'en avais entendu toute ma vie et je ne les supportais plus. Si je les avais supportées un jour en tout cas ... Bien sûr, je connaissais la réponse mais pourquoi lui gâcher le plaisir de me conter une blague qu'elle avait l'air de trouver si drôle ? Ah oui ! Je sais ! Parce que j'étais Heaven Sanders et que je ne l'aimais pas. Je posais donc délicatement mon journal à côté de moi et la regardais dans les yeux. Je vis du coin de l'oeil ses divers paquets ? Une acheteuse compulsive ? Drôle de coïncidence ... J'étais pareil ! Mais oublions ... J'avais des gestes calmes et posés qui cachaient bien mon énervement. Mais je me contrôlais toujours et c'était pour ça que j'étais une bonne chasseuse ...

- Bonjour Aby', ils n'ont pas peur du vide, pas vrai ? Tu la trouves si drôle cette blague ?

Je savais que l'utilisation de son surnom la foutrait en rogne. Elle n'aimait pas que je l'appelle comme ça depuis que nous nous étions officiellement déclaré la 3eme guerre mondiale mais c'était fait exprès. Elle me cherchait, elle me trouvait. Et quand on me trouvait, je pouvais vraiment être une garce et ça, il allait falloir qu'elle s'en rende vite compte si elle ne veut pas avoir de problèmes car je peux très vite changer d'avis sur mes proies et je ne doutais pas qu'elle ne veuille pas être la prochaine. Je finis mon chocolat chaud. Oui, je détestais le café, et alors ! Toujours est-il que je plaçais mon verre sur le côté de la table au cas où j'ai à employer mes mains pour ... Je ne sais pas moi, l'étrangler discrètement. Il valait mieux que je n'ai rien devant moi, ça pourrait me ralentir ... J'aimais administrer des morts lentes et douloureuses mais peut-être aurait-elle droit à une mort rapide et je n'aimais pas tacher mes vêtements alors une tâche de chocolat aurait fait ...Ben tâche justement. Je lui souris malicieusement avec une petite pointe de sadisme. J'étais comme ça : peste et méchante à toute heure de la journée. Un vrai rayon de soleil !

Je regardais autour de moi. Il n'y avait pas beaucoup de monde. Il faisait froid et les gens préféraient leur petit chez-eux bien chaud. Tant mieux ! Elle pensait peut-être que je ne ferais jamais rien contre elle si il y avait des témoins mais elle se mettait le doigt dans l'oeil ! Je ne me souciais de rien et de personne. Bien sûr, je préférais faire ça dans un coin sombre et esseulé mais peu importe. Un Starburck serait plutôt drôle aussi ... Je voyais déjà la tête des serveurs. Ils n'auraient pas le temps de comprendre que la rousse serait morte et moi, je serais bien loin. Je souris rien qu'à cette idée et au plaisir que cela aurait pu m'apporter mais je ne bougeais pas d'un pouce, ramenant juste mon regard vers elle. Je me redressais un peu, posant mes mains sur mes cuisses et lui fit un sourire affable mais toujours aussi froid, lui demandant d'une voix faussement joyeuse :

- Alors, quel bon vent t'amènes ici ?

Vrai qu'il y avait du vent ! Mais quel jeu de mot ma chère ! J'étais vraiment faite pour être comique. Ou pas d'ailleurs. Mais de toutes manières, on s'en fichait pas mal. J'étais une Raïs et rien d'autre. Et ce à jamais d'ailleurs. J'aimais le sang et j'aimais le voir couler du corps de mes victimes. Une psychopathe ? Oui, un peu mais qu'est-ce que ça peut bien vous faire ? Toujours est-il que je me tues, attendant sa réponse.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] _
MessageSujet: Re: Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël]   Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Les haines de races ne sont jamais au fond, que des haines de places. [Abigaël]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
« BLOOD MOON » :: ▬ CHAPITRE III « LONDON » :: 
« oxford street »
 ::  café & restaurants
-
Sauter vers: